Peut-être qu'il est apparu récemment sur votre radar une nouvelle tentative de caricature de Loïc Le Meur, en la personne virtuelle de Loïc le beur. Ne fréquentant pas le dé de blogopatate des ou de la personne à l'initiative de cette tentative, je ne l'avais personnellement pas vu, jusqu'au jour où... il apparaît dans mes sites référant. A l'origine du lien, un post trivial ou Meur devient Beurre et Beurre devient Beur dans les commentaires. Ignorant le fait que le commentaire en question précède de plus d'une semaine le premier post de nouveau blog "satirique", il est montré en exemple (avec humour je suppose, difficile à dire) du fait qu'on parle de lui, ce qui donne lieu dès le deuxième post de ce blog à une accusation voilée de racisme (et encore il a édulcoré son post après publication initiale). Si ceci en dit long sur le courant de pensée de l'auteur, ça n'est pas encore rédhibitoire au point de ne pas le rajouter dans ma liste de lectures aux côtés de Loïque Jemeur, satire qui est, elle, fort bien réussie.

Mais, pour que cela soit drôle, encore faut-il que la caricature ait un lien avec l'original. Et là, au bout de 6 articles, on est très loin du compte.

  1. article de présentation : ok
  2. "on parle de moi" : l'article en question qui pointe ici... intérêt limité vu que personne ne me lit. C'est de l'humour facile, le post est visiblement écrit pour ses potes
  3. "Tristan Mendes-France c'est mon pote"
  4. "Donzelle c'est ma potesse"
  5. "Prochoix c'est mes potesses"
  6. "Y'a Loïc qui s'est fait avoir par son cookie MyBlogLog, fait un lien vers moi Loïc si t'as des couilles"

Plus qu'à une satire de Loïc Le Meur, on fait donc face à un relais de plus de la sphéroïde de pensée "Charlie-Hebdo", surfant sur la vague de notoriété (méritée) de Le Meur. Ce n'est rien de plus que de la com' facile : dispensable.