Au final, les plumes qui m'inintéressent le plus sont (pas de bol) les deux rédacteurs en chef. L'un deux en plus a gardé le style de son blog personnel, qui bien que parfaitement adapté aux diatribes du quotidien, tombe comme un cheveu sur la soupe dans une publication qui est censée parler de la ville et de ce qui s'y passe : le contenu passe derrière le style. L'autre je ne sais pas, jamais lu son blog perso. A ceux qui me diront "si tu n'aimes tu ne lis pas", je répondrai donc "vous avez tout compris".
Deuxième essai
dimanche 27 novembre 2005. Lien permanent Weblogging
Enhardi par la Veuve Tarquine, je retourne voir Parisist après un premier essai infructueux. Les premiers articles passent bien, un peu copieux, pour un blogue ça gagnerait à être un poil plus léger. Dès le deuxième article ça part en quenelle, avec du surverbiage aigri et aggressif, blindé de tics d'écriture. Article suivant, pas terrible, très verbeux pour pas grand chose. Ca continue pas mal, suivit d'une petite encartade météo qui passe bien, la pub est bloquée, ok. Suit un article sur les transports et la circulation (comme quoi certains arrivent à écrire dessus), au vocabulaire pas très standing -ist. Ca fait un peu tache... On va s'arrêter là ça devient lassant.
3 réactions
1 De Zap - 28/11/2005, 04:08
> surverbiage aigri et aggressif, blindé de tics d'écriture.
Une jolie mise en abîme, sans les tics. Etre Vincent Lindon ou mourir.
2 De Zap - 28/11/2005, 04:12
J'admire JRoller pour sa capacité à motiver les troupes lors de ces vieilles angoisses d'avant envoi de commentaires : "Merde c'est nul ce que je dis". Puis l'addition si facile "0 + 83" ou "1 + 2" et la nécessité de poster.
3 De Damien B - 28/11/2005, 07:07
Mise en abîme mes fesses ! C'est en fait le cas traité au second paragraphe, où l'on parle de l'adaptation du style en fonction de la destinée du bloug.