Ses vêtements tous à laver. Sur les épaules un plaid jeté. Désormais tout recroquevillé. Sa tête se penche. Lui est groggy, eux dansent toujours. Peut-être pourrait-il s'endormir, si l'excitation de faiblir. Son sourire maintenant parti, il offre ce visage déconfit. Mais on peut lire dans son regard, ce jour va rester en mémoire.
Jour de fête
jeudi 2 juin 2005. Lien permanent Tout venant
Ses chaussures sont dépareillées. Aux coudes des pièces mal rapiécées. Il est assis sur une branche. Ses pieds balancent. Lui chante, eux dansent. Je crois bien qu'il pourrait voler, si seulement l'envie lui venait. Il a le sourire des enfants, ceux que l'on perd en grandissant. Ce chant silencieux dans les yeux, une palette de tons bleus.
une réaction
1 De luciole - 03/06/2005, 02:41
Bien vu... plein de sourires.