Encore une histoire de Tang... trottant chez le glorieux magasin éponyme de l'avenue d'Ivry, j'en reparti comme l'année dernière à la même époque avec un dessert du nouvel an. Devant les égarements de l'année précédente, un seul dessert fut tenté cette fois-ci, et encore, un qui avait une bonne tête, et avec une composition le rendant a priori comestible : farine de riz gluant, sucre de canne. Devant l'absence de posologie, ainsi que de mode et voie d'administration, je fus poussé à joindre mon contact culinaire, celui-là même qui alimente son nourrisson à coups de rillettes de porc séché. Elle m'indiqua alors que ce met se dégustait chaud, après l'avoir saisi à la poêle. Ce qui fut fait.

Gâteau du bonheur

Au final ça n'est pas extrêmement fin, mais ça se laisse bien manger. Il faut bien faire attention à ce que le gâteau soit parfaitement fondant, sinon c'est moins bon. Pour ceux qui veulent venir goûter, il en reste.