Du grand large au cabotinage, il rejoint définitivement la côte. Humant l'air océanique au parfum de nostlagie, le vent fouette son visage et réveille la mémoire. Moins polémique, moins superficiel peut-être, c'est une plongée dans l'intime, la douceur et la douleur. Dans cette escale nulle crainte de la houle et du vent de terre, une stabilité au moins temporairement retrouvée : il est temps d'ouvrir les malles. Ca se passe ici.