Même pas un syndicaliste vindicatif... des gens intéressants à écouter dans l'ensemble. Avait-on besoin du "luxe" de la Sorbonne pour faire ceci ? Ça rapporte de l'argent au ministère d'emprunter la salle ? Plus d'argent pour l'éducation ? On trouve effectivement bien 500 millions pour rattraper les erreurs des grands couillonsmmis d'état qui furent à la tête du Crédit Lyonnais. Rajouter des enseignants, rajouter du personnel, construire des maisons de repos... Est-ce du fatalisme ou doit-on avoir confiance dans une des professions reine de l'arrêt maladie ? Etait-ce différent de mon temps ? L'éternelle question... un simple changement de perspective. Nous n'étions pas si insolent, nous savions nous tenir, pas forcément plus attentifs ni plus intéressés, mais nous n'avions pas le début de l'idée de nous en prendre à nos professeurs quand nous étions en échec.

Combien de personnes dans ce nous, combien de visages oubliés, combien d'attitudes ignorées, ou comment prendre son cas pour une généralité et occulter la diversité. L'école, un sujet si proche mais surtout si lointain, à la limite de l'oubli volontaire, une page est tournée non ? Au final seul le conflit attire encore un peu l'esprit, désamorcé par l'ex pourtant. Un débat de techniciens, si vite oublié... dans une telle usine à gaz que ce ministère, ce système, qui peut encore avoir une vision des moyens d'amélioration sans s'y investir complètement ? Le pouvoir des instruits, un cercle vicieux... [Listening to: Tune The Rainbow - (11) Sakamoto Maaya - (5:33)]