J’adore sucer le mouton bouillant !

J’ai bouffé dans la louche de la baronne.

J’ai envie de brancher un collet.

J’ai esquinté mon fendard dans cette petite grotte !

J’ai la liasse, mon chou !

J’ai laissé tremper ma botte dans votre citerne.

J’ai le nom de la Russe sur le bout de la langue...

J’ai les jambes en béton : j’ai causé debout toute la nuit.

J’ai retiré la clef du bac.

J’ai trouvé Marion les laissant faire.

J’ai un canard sur le feu ! s’écrie le cuisinier.

J’ai un éléphant incontrolable dans la menthe, s’écria la directrice du zoo.

J’ai vu notre saint pape en prière,

J’aime le son du cor.

J’aimerais prendre mon thé avec ces deux piétons...

J’approche le cou du but.

J’entends votre épi pousser...

Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis.

Je gémis sans pouvoir lutter !

Je me suis éclaté la panse en dînant.

Je m’occuperai de vos tresses après le football...

Je munirai ta lame d’un beau manche en fer.

Je n’ai pas de rebord à mes épaulettes.

Je n’aime pas vos robes à losanges.

Je ne banquerai que lorsque j’aurai vu votre don !

Je ne l’ai pas conçu à ce point !

Je ne veux pas de robes quand j’ai mes aigles.

Je préfère te parler d’un ton couvert.

Je suis arrivé à pied devant le chêne. Bel exploit !

Je trouve que Macon a un drôle de nom.

Je vais faire une escalope avec une belle salade.

Je viens d’annuler ma petite enquête.

Jean-Luc, le responsable systeme.

Jean-Paul le pape hautain.

Jeanne avait une vraie cotte de mailles...

Jeune homme, ces crampes vous font-elles bouder ?

Jolie pepee, cache ton dos si tu ne veux pas qu’on te jette à la rue.

Jules a maculé Henri.