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tortue L - 1ère Partie



 

L’abbé a bien de la peine à tirer un écu de son tronc.

L’abbé déplore la foule.

L’abbé se dresse en chaire devant ces colonnes.

L’abus du marc rend pénible la diction.

L’allégement des conquêtes.

L’aller et retour du Mans lui avait desséché la glotte.

L’ami russe explorait les anales de la Marine.

L’amoral a quand même des qualités.

L’anesse a le feu au derrière.

L’arbitre a été d’accord sur ce but.

L’archéologue a fait céder la stalle de Vénus.

L’architecte donnerait toutes ces vieilles briques pour une belle lucarne.

L’astrophysicien prétend que l’écoute, ça lui donne des chaleurs.

L’Ecole de Saumur vante ses bons côtés.

L’écuyère se plaint que le mouton de sa botte est trop dur.

L’effet de cette union est tout à fait tonique !

L’éleveur de moutons tire de sa laine une maigre pitance.

L’éleveuse dont la meute évolue...

L’embaumeur arbore une mine de porc.

L’émir du Koweit a été forcé de baiser les mains de Saddam.

L’épicurien recherche les sources du bonheur.

L’étudiante constate la raideur des berges de visu.

L’évèque presenta le néophyte, puis l’abbesse.

L’évèque rentre sa bête dans l’écurie.

L’évèque tient à être en curé au plus fort de l’élection.

L’hôtelier étalait ses carpettes sur la route.

L’inspecteur voudrait voir les bons cahiers.

L’Irak n’a qu’une toute petite chance.

L’ivrognesse cuvait quand les flics l’ont emballée.

L’oiseleur se débrouille pour montrer l’appeau des ses cailles.

L’on voit rarement une fille en culotte et en corset.

L’ONU voit sans tarder des Serbes qui reculent.

L’ordonnance du capitaine s’amuse à secouer sa caissette jusqu’au camp.

L’ouvrière est passive devant la linotype.

L’usage d’inoculer du pus de génisse s’est répandu rapidement.

La baronne admirait les sites autour de son balcon.

La baronne invite le penseur à dîner.

La Batie-Roland.

La berge précède le vide.

La bergère longea le verger jusqu’à la berge.

La bergère s’amuse à voir passer ce pitre.

La Bible : voilà une chose qui me fait bien prier !

La bibliothécaire faisait exposer les Plines.

La bigote est sure que certains saints sont expliqués !

La bonne épouse connaît son dû.

La bonne ménagère bouche les trous de mites.

La bonne sÂœur admire la frite d’Hubert.

La boxeuse sentait se dilater sa rate à chaque chute.

La cantinière met son quart au trou du fût.

La Chine à notre porte.

La Chine attaque le Pakistan.

La comédie nous enseigne à détester nos ridicules. (Molière)

La commerçante a un horrifique bénéfice.

La comtesse avait une pierre fine à la main.

La contorsionniste s’est tordu l’humérus !

La cuisinière n’arrête pas de mastiquer, la sotte !

La cuvette est pleine de bouillon.

La douane israélienne n’admet pas les préposés russes.

La duchesse n’est pas femme à découper la biche en trente.

La duchesse voudrait voir des groupes de cailles.

La fan de Tintin apprécie la verve d’Hergé.

La fée la plus aimante a toujours la faveur du ciel.

La femme du capitaine a fait mander le marin à bord.

La femme du chef de gare m’a laissé le Chaix.

La femme du garagiste était déroutée par mes petits pistons.

La femme du mineur est ensevelie sous des piliers de mine.

La fermière a des nichoirs en forme de pont.

La fillette timide mâchait sa cotte.

La filleule a guetté en voyant le gros saphir à sa tante.

La footballeuse s’est couchée sur la touche.

La gendarmerie de Saint-Raphaël a recours aux adjudants du Var.

La graille et le pain.

Laisse ta biquette, jolie bergère.

La jeune beur rêve de sites de banlieue.

La jeune existentialiste se prête au jeu du néant.

La jeune fille agace les roussettes avec ses bouts de pain.

La jeune fille habite Laval.

La jeune fille ressent la profonde aversion de l’asperge.

La jeune fille revient de la ferme pleine d’espoir.

La jeune fille s’était laissée abuser par les mythes.

La jeune fille tousse en se mouchant.

La jeune bergère aime qu’on borde son petit mouton.

La jeune botaniste contemple avec amour le plant qui vient de la Guinée.

La jeune paysanne rêve devant un beau vendeur.

La magistrature assise ment debout.

La laborantine excite le fÂœtus du bout du talon.

Là, l’Europe a beaucoup de vassales.

La mafieuse en a passé des surins.

La mariée partit avec un grand salut à la noce.

La mathématicienne avoue ne pouvoir travailler qu’avec pi connu.

La mine piteuse.La nageuse fit un départ sur le dos...

La mortadelle fut attaquée par les Scipions.

La mouche se pose sur le béat.

La mousse d’un blanc rosâtre recouvrait la Garonne.

La mule est en route, s’exclama le charretier.

La Normande a un engin qui sent le Calvados.

La nuit, tous les marins ont droit au phare.

La pauvre femme se tordait les mains devant le sinistre.

La paysanne fait la promotion des sports en ferme.

La pédicure me mouille les cors.

La petite indienne lavait le pis de la vache.

La petite Marion m’a fait un beau papier.

La petite nonne aimait les gros bÂœufs.

La physicienne connait bien la force que représente une dyne pure.

La pire dune...

La poêtesse aime les vers belges.

La préfète se réjouit de passer des Landes au Gard.

La querelle d’Edouard traîne en longueur...

La rameuse dévoila son cÂœur au baron.

La résistance excite les séctions de rapine.

La romancière ne veut pas fâcher le lecteur.

La sainte nitouche trouve que les délits plus petits sont les plus vicieux.

La sentinelle a vidé ses douilles sur un crapaud !

La squaw caresse la patte de la biche.

La travailleuse ne rougit pas d’un cal fécond.

La vieille négresse réussit à se nicher dans ses torchons !

La voyageuse remonte les valoches jusqu’à la berge.